Nous avons pu en rencontrer quelques spécimens lors de notre promenade dominicale à Boitron. "On" les appelle aussi "trogne, halot, tocard, ces drôles d'arbres dont la forme caractéristique résulte d'un mode d'exploitation spécifique, par étêtages réguliers.

Sur ce lien, quelques explications intéressantes : http://www.haiesvives.org/html/tetard/arbre_tetard.htm

Le petit groupe de joyeuse humeur a parcouru une dizaine de kilomètres avec le soleil pour témoin ! Merci à Serge pour ces jolis reflets d'automne !

Je n'ai pas trouvé la race de ces vaches, quelqu'un a une idée ?

Préparez votre déplacement :
 

♦ Consultez l'information routière et la météo avant les grands départs.

♦ Vérifiez l'usure et la pression des pneus : un pneu sous-gonflé augmente la consommation de carburant et altère la tenue de route
♦ Contrôlez les niveaux tous les mois.
♦ Évitez les charges inutiles : démontez les barres ou coffre de toit entre chaque utilisation.

Au démarrage du véhicule :

♦ Adoptez une bonne position de conduite : réglages siège, rétroviseurs, mains sur le volant à « 9h15 »
♦ Pas d'accélération inutile lors de la mise en route ou à l'arrêt. Les moteurs à injection mis en service depuis 1990 sont conçus pour utiliser une quantité de carburant bien définie et pour démarrer sans avoir à appuyer sur la pédale d'accélération.
♦ Ne faites pas chauffer le moteur à l'arrêt, même par temps froid, mais sollicitez le avec douceur lors des 5 premiers kilomètres.
♦ Préférez la ventilation à la climatisation et limitez les écarts entre les températures extérieure et intérieure.

Durant le trajet, adoptez une conduite anticipative :

♦ Accélérez franchement pour passer la vitesse supérieure vers 2 000 tours/min. : conduisez au bon régime moteur. Aidez-vous du compte-tour si votre véhicule en est équipé, sinon fiez-vous au bruit du moteur. Pousser le régime moteur fait consommer jusqu'à 20 % de plus ;
♦ Maintenez une vitesse constante dans la mesure du possible en évitant les à-coups (successions de freinages et de fortes accélérations qui peuvent entraîner une surconsommation de 20 à 40%) ;
♦ Respectez les limitations de vitesses : en France si tous les automobilistes respectaient les limitations de vitesse

l'économie en carburant s'élèverait à 6,5 % par an ;
♦ Utilisez le frein moteur et rétrogradez vers 1 000 – 1 500 tours/min dans les zones de ralentissement ;
♦ Respectez les distances de sécurité : vous éviterez ainsi les freinages et accélérations brusques ;
♦ Ne conduisez pas au point mort : cette pratique est dangereuse, elle ne permet pas, contrairement aux idées reçues, d'économiser du carburant. Lâchez l'accélérateur en laissant votre véhicule avancer avec une vitesse enclenchée ; dans cette situation, l'injection est coupée et votre consommation nulle ;
♦ Coupez votre moteur en cas d'arrêt prolongé : l'arrêt-redémarrage d'un véhicule consomme moins de carburant que de laisser tourner le moteur au ralenti plus de 20 secondes.     

Sources : www.securiteroutiere.gouv.fr et www.bison-fute.equipement.gouv.fr       

Balade originale en ce beau dimanche de la Toussaint. Jeannette PERRET a accepté de nous conduire de Orly sur Morin à Coton, en passant par le chemin qui borde l'ancienne voie de chemin de fer. A son grand regret, les belles haies d'arbustes  avaient été taillées donc difficile de les identifier, d'autant que les baies avaient disparues. 

L'érable champêtre (celui qui donne des samares doubles...et chacun de nous, étant enfant, nous en avons tous fait voler et disions que ça ressemblait à un hélicoptère !),

le sureau yèble (le mauvais),

l'églantier (un rosier sauvage dont le plus commun ROSA CANINA),

la galle du chêne (fruit rond coloré dont chacun abrite UN seul petit insecte),

la particularité de la feuille de l'orme (elles ressemblent à celles du Charme. on peut cependant les distinguer aisément. Les feuilles du Charme sont parfaitement symétriques alors que celles de l'Orme dont dissymétriques à la base),

toutes ces plantes, arbres et arbustes n'ont plus de secret pour nous...

                    Deux beaux ânes près d'un fusain                                     Erable champêtre

                            Stobiles d'aulne                                                                   Sureau yèble*

    Galle du chêne (et son petit insecte à l'intérieur)                              Baies d'aubépine      

      Galle de l'églantier (Cynorhodon)                                            Dégustation de baies d'aubépine

*Différence de feuillage : sureau yèble (non comestible)...              et sureau noir (comestible)

NOTA** : Le sureau yèble ressemble au sureau noir Il ne s'agit pas d'un arbuste mais d'une herbacée. Ses grappes de fruits, tout comme ses fleurs  sont toujours dressées vers le ciel alors que celles du sureau noir sont pendantes vers la terre. Cette plante est toxique.

Le sureau yèble (herbe) disparait l'hiver. Ses tiges qui ne dépassent pas 2 mètres de haut ne seront jamais recouvertes d'écorce. 

Les tiges du sureau noir sont différentes. S'agissant d'un arbuste, elles ne disparaissent pas l'hiver et le sureau peut mesurer de 1 à 10 mètres de haut . On distingue nettement deux sortes de tiges. Les rameaux de l'année qui sont verts, ronds et lisses ; et comportent de très nombreuses lenticelles (inexistantes sur le sureau yèble).

**Sources : http://miniherbarium.canalblog.com

Un grand merci à Jeannette qui a bien voulu nous faire partager ses connaissances.

Merci aussi à Serge.

En cette matinée pluvieuse, nous étions 21 courageux : passionnés ou curieux, au rendez-vous donné par Claude CONGY, pour « apprendre les champignons ».

En groupe, en couple ou en solitaire, nous nous éparpillons dans le sous-bois afin de dénicher l’espèce rare pour nous.

Au fur et à mesure de nos trouvailles, nous présentons notre cueillette à notre professeur.

Il les identifie, en nous donnant leur nom commun et parfois scientifique en latin, comestibles ou non.

Pour les premiers, il peut même nous conseiller une recette culinaire, et les autres, il nous les fait rejeter.

Au bout de 2 heures de recherche, nos paniers sont preuves d’une belle cueillette assez variée.

Vers 11h, le ciel s’éclaircit, la pluie cesse. Nous quittons la forêt à 11h 30 sous un soleil radieux, chacun fier de sa récolte.

Attention : les champignons représentés ne sont pas tous comestibles.

 Chantal Schuller.

Pied de mouton et coulemelle vue de dessous

Coprin pie et bolet orangé 

Poupette rose (non répertoriée) et cèpe de Bordeaux

Agaric jaunissant et coulmelle

Les autres photos sont dans l'album 2013 en dernière page.

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Exemples  :

 Visite des cryptes mérovingiennes de Jouarre ou du Musée

Office de Tourisme - 2 rue de la Tour - 01 60 22 64 54

Joyau du patrimoine de l’art Mérovingien, les cryptes de Jouarre demeurent un ensemble unique en Europe, car elles sont les plus anciennes. Elles datent de la fin du XIIème siècle, sous le règne du roi Dagobert Ier.

Gratuité pour le détenteur de la carte*. Plein tarif : 3 €