Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 18:23

C'est le moment de faire ces petites recettes simples

qui agrémenteront vos soirées d'hiver...

 

  Vin de Framboises  Vin de noix vertes

 

  ...ou vos salades...

 

  Vinaigre de lavandin  

 

...et à boire sans modération...

  

   Tisane lavande abricot

 

ou simplement infusion de feuilles de menthe et de verveine (à boire chaud ou froid)

 Ligne soleil

Partager cet article
Repost0
11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 16:18

Mardi 6 août 2013, le pétrolier américain Hess Oil France a commencé un forage exploratoire sur la plateforme de la Petite Brosse à Jouarre en Seine-et-Marne dans le cadre du permis de Château-Thierry, 51-77. Hess met en oeuvre ce que son président B. Demont a affirmé à l’AFP* «…permettre de localiser du pétrole pour lequel les techniques de production (…) sont interdites…».


Les collectifs* soutiennent le collectif du pays fertois dans sa lutte. Ensemble nous dénonçons ce forage qui a pour objectif explicite l’exploration de la roche-mère** laquelle renferme du pétrole de schiste. C’est une étape dans la recherche d’hydrocarbures non conventionnels sur le territoire
national ; nous demandons donc l'arrêt immédiat de ces travaux.

 

*Collectifs non aux pétrole et gaz de schiste et de houille*


> lire le communiqué de presse complet

 

Logo coll fertois

Partager cet article
Repost0
10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 10:55

Le pétrolier américain Hess Oil est arrivé à Jouarre, en Seine-et-Marne, officiellement pour cartographier les ressources potentielles en hydrocarbure. Pour les écologistes, il ne s'agirait que d'un alibi. Ils craignent l'utilisation de la fracturation hydraulique et de produits toxiques.


Logo coll fertoisCliquez ici pour accéder à la vidéo du collectif fertois

Partager cet article
Repost0
8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 13:37

Les habitants de Jouarre en Seine et Marne manifestaient ce samedi 3 août devant le site de forage de Hess Oil. La compagnie américaine est suspectée de préparer le terrain pour l'exploration de pétrole de schiste par fracturation hydraulique.

 88889427_p.jpg

 

Près de 500 personnes se sont rassemblées samedi 3 août devant la plateforme de forage de 26 mètres de haut de l'américain Hess Oil à l'appel des collectifs contre les gaz et pétrole de schiste. Ces derniers accusent le pétrolier de profiter d'un flou juridique sur la fracturation hydraulique pour évaluer la ressource en pétrole de schiste du bassin parisien, faisant ainsi courir un risque environnemental pour leur territoire.

 

Pourtant, la loi Jacob de juillet 2011 interdit en France l'exploration d'hydrocarbures par forage dans la roche mère. Hess Oil nie ces accusations et affirme être à la recherche de pétrole conventionnel. Reste que la compagnie a succédé à Toreador, une entreprise qui avait reçu l'autorisation de forer dans la roche mère un an avant la loi interdisant la fracturation hydraulique. Il n'est pas certain que ce permis ait été légué à Hess Oil au moment du rachat mais les militants soupçonnent fortement le pétrolier de prétexter un forage vertical uniquement en vue d'obtenir une prolongation de son permis pour pouvoir procéder à un forage horizontal lorsque la loi le permettra. En effet, les collectifs estiment que le géant américain mise sur une évolution juridique, la loi sur la fracturation hydraulique ayant été renvoyée devant le Conseil Constitutionnel qui pourrait la censurer à la rentrée.


Actu Environnement > (+ vidéo plateforme de Jouarre)

voir aussi

Le reportage i télé du 07 août 2013


 

 

Partager cet article
Repost0
27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 13:03

2013-07-27 Chôqueuse (00)

Une petite vingtaine de participants étaient au rendez-vous pour le pique-nique ce samedi soir. Quelques-uns manquaient à l'appel à cause de la "vigilance orange" annoncée par "Météo France".  A peine venions nous de terminer le dessert qu'une grosse averse nous a contraints de remballer en quatrième vitesse...la preuve en image....   2013-07-27 Chôqueuse (01)

Mais quelques férus de marche ont patienté...

nous étions 7 et croyez moi, nous avons bien été récompensés !

2013-07-27 Chôqueuse (02)

  La pluie a cessé pour notre plus grand plaisir. De lune n'avons point vu mais quel ciel magnifique !

2013-07-27 Chôqueuse (05)

Un grand merci à Serge pour ces quelques photos.

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 19:53

Comment faire son compost?

 

Le compost permet de réduire la quantité de déchets ménagers. Cela évite le transport et le traitement de ces déchets que vous allez traiter directement chez vous. Ainsi, on estime à 30% des déchets, la part des déchets compostables.

C’est un fertilisant organique qui vous sera très utile dans votre jardin et votre potager, à moindre coût ! Il aide également à maintenir l’humidité dans le sol et le sol devient plus facile à travailler!

 

Définition

 

C’est la transformation des déchets organiques, en compost ou humus.

Les micro-organismes opèrent cette transformation en présence d’eau et d’oxygène.

Il s’opère tout d’abord un phénomène de fermentation aérobie intense. C’est la décomposition de matières par les bactéries, à haute température (50- 70°C).

Puis, ce compost frais est transformé en compost mûr, riche en humus par une fermentation moins soutenue. Cela se passe à une température plus basse (35-45°C), grâce à des champignons.

La température élevée permet d’éliminer les agents pathogènes contenus dans les déchets.

 

Quelle méthode de compostage choisir ?

 

En fonction de la place disponible dans son jardin, on peut choisir différents formes de compostage : le tas, le silo ou le bac (qui existe en différentes tailles) mais également le compostage de surface.

 

Le tas nécessite une grande place. Il grossit anarchiquement au fil des jours. Il est nécessaire de bien le remuer pour l’aérer.

 

composteur-bois-situation.jpgLe compostage en silo offre plusieurs avantages par rapport au compostage en tas : gain de place, accélération du processus de compostage, plus "esthétique" .Le but est de remplir le silo des déchets verts au fur et à mesure de leur "production". Le mélange idéal est plus difficile à atteindre qu'avec le compostage en tas classique, mais il réclame moins de manipulation.

Vous pouvez utiliser les silos du commerce ou le construire vous-même avec des planches de bois ou du grillage. Prenez garde à bien laisser le fond de votre bac à compost en contact avec le sol car c’est une source directe de micro-organismes (comme les lombrics) indispensables à la réussite de votre compost. L’idéal est d’avoir au moins deux compartiments à compost afin de pouvoir le retourner aisément. Pendant que vous laissez un bac terminer sa fermentation en compost, remplissez le second et ainsi de suite !

Le silo est simplement un grand bac, lui aussi aéré.

  composteur detoure

Le bac est pratique lorsque l’on dispose d’une place réduite. Son inconvénient est qu’il limite la quantité de déchets compostés et que l’on en vient rapidement à rajouter des bacs. Il doit être aéré et placé. Une ouverture basse du bac permet de récupérer le compost mûr. Du point de vue esthétique, il est pratique et plus facilement dissimulable qu’un énorme tas de déchets.

 

Le compostage de surface reprend le processus naturel des forêts et de tous déchets qui tombent au sol et se décomposent. Il s'agit d'épandre simplement les matières organiques, les déchets verts à même la terre. Pas besoin de le mettre en tas, de l'aérer, de le manipuler : une bel économie de travail !

 

Un peu à part, un petit composteur appelé « lombricomposteur » est un mini bac d’appartement. Pour cela, il est nécessaire de réduire les déchets en petits morceaux qui seront mieux utilisés par les vers qui se chargent du compostage dans cet appareil.

 

 

sac-compost-feuilles.jpg

Astuces

 

Dans un petit jardin, où il y a peu de déchets verts, utilisez un sac à engrais en plastique transparent. Percez-le de trous à différents niveaux. Sous l'effet du soleil, la décomposition est plus rapide

 

Pour ceux qui désirent composter une petite quantité de déchets, vous pouvez creuser un trou directement dans la terre. Creusez une tranchée de 20 cm de profondeur et d’une largeur correspondant à la quantité de déchets que vous souhaitez. Couvrez de paille ou d’un plastique noir et maintenez humide comme pour un compost normal. Il existe également des composteurs de balcons pour ceux qui ne possèdent pas de jardin.

 

Où faire son compost ?

 

Un bon emplacement pour un tas de compost est à l’ombre car une situation trop chaude le dessèche. Pensez à l’arroser s’il est trop sec et à le couvrir pour éviter le lessivage.

 

Que mettre dans mon composteur ?

 

Les déchets de jardin

Les déchets de maison

·  Feuilles mortes broyées (C)

·  Tonte d'herbe fraîche (A)

·  Fleurs fanées, même celles du fleuriste (A)

·  Plantes d'appartement (A)

·  Bois de taille broyé, sciures et copeaux (C)

·  Aiguilles de conifères

·  Mauvaises herbes non grainées (A)

·  Orties entières avant floraison

·  Tourbe (C), paille de céréale(C)

·  Déjections animales (A)

  

·  Déchets et épluchures de légumes et de fruits (A)

·  Feuilles de thé et sachets / infusettes diverses (C)

·  Marc de café avec le filtre (C)

·  Coquilles d'œufs (C), pain rassis (A)

·  Pomme de terre flétrie broyées

·  Fruits et légumes abîmés (C)

·  Papier essuie-tout, mouchoir en papier (C)

·  Papier, journaux, cartons (en morceaux)

·  Tissus naturels tels le coton et le lin (broyés)

·  Cendres de bois (C)

 

  A ne pas mettre dans mon composteur !

 

A éviter : les petits os, arrêtes, débris de viande (qui risqueraient d’attirer les rats, les chats et les chiens), les pelures d’agrumes (qui contiennent un insecticide naturel et  se décomposent lentement), les gros branchages, tailles de thuyas et autres conifères, les coques de noix, noisettes, noyaux (trop longs à composter).

 

A proscrire : les coquilles d’huitres, moules, les croûtes de fromages, les médicaments, les cartons et revues, les mauvaises herbes grainées, les plantes malades ou traitées, les cendres de bois ou de charbon, la terre, les cailloux, le sable, les pierres, gravats, litières non biodégradables, coquillages et évidemment, le plastique, le  verre, le métal, les produits chimiques, les couches, poussières d’aspirateurs ou balayures,, les tissus synthétiques, huiles de vidange.

 

Bien équilibrer ses apports pour avoir un bon compost.

 

Pour avoir un bon compostage et donc, un bon compost, il faut équilibrer l’apport de déchets à dominante « carbone » et « azote ». Il faut 30 fois plus de carbone que d’azote.

 

Déchets à dominante « carbone » : tailles de haies et tiges dures coupées, écorces, marcs, filtres de café, infusettes, coquilles d’œuf, feuilles mortes, cendres de bois, sciures, copeaux, tourbe, fruits et légumes abimés, essuie-tout, serviettes et mouchoirs en papier, paille de céréale.

 

Déchets à dominante « azote» : pelouse, épluchures de légumes, de fruits, plantes vertes, mauvaises herbes non grainées, fleurs fanées, pain rassis, déjections animales.

 

Pour favoriser la fabrication de votre compost :

 

Il est possible d'acheter des activateurs de compost utilisables en agriculture biologique. Ces micro-organismes permettent d’obtenir un compost fini plus rapidement.

 

D’autres éléments naturels sont aussi riches en bactéries et peuvent aider le compost à être prêt à l’emploi plus rapidement : la bière, mais si elle est vieille, le cidre, même éventé, le lait caillé.

 

Des couches d’orties peuvent aussi être intercalées entre les différents apports dans le composteur : elles sont un activateur naturel de compost.

 

Pour enrichir le compost en oligo-élément :

 

En plus des éléments habituels, il est possible d’y mettre aussi les cheveux et plumes d’oiseaux ramassés dans la maison ou le jardin. Ces éléments mettront plus de temps à se dégrader mais apporteront des éléments différents, et utiles à l’enrichissement du compost.

 

Conseils

 

Il est préférable de broyer les gros éléments avant de les mettre dans le composteur afin d’augmenter la surface à composter. Remuer de temps en temps le compost pour assurer une bonne aération.

En été, s’il fait sec, ajouter un peu d’eau.

 

Quand le compost est-il prêt ?

 

Il peut être mûr au bout de 3 à 6 mois au printemps/été ou 6 à 9 mois en automne/hiver s’il est bien isolé et retourné régulièrement. Certains composteurs permettent même la réalisation d’un compost de qualité en 4 à 6 semaines seulement !

 

NB : Pour un compost bien décomposé, pensez à alterner entre deux couches de compost un activateur à compost.

 

Le compost est prêt lorsqu’il sent la terre forestière, l’humus et s’effrite facilement. A la fin du compostage le tas aura perdu 2/3 de son volume initial, mais il sera concentré en éléments nutritifs.

 

Utilisation du compost

 

Un compost arrivé à maturité peut être utilisé comme amendement organique. Retirez-le par la base et incorporez-le au pied des plantes ou dans les trous de plantation. L’idéal est de le tamiser avant utilisation. Attention à ne pas l’enterrer mais à l’incorporer de façon superficielle. Epandre 30 à 70kg de compost pour une surface de 100m², trois fois par an.

 

Il ne faut jamais planter ou semer directement dans le compost ; les plantes ne le supportent pas. Il faut donc toujours mélanger le compost à de la terre. Pour rempoter des plantes vertes, on fait un mélange : 1/3 de compost, 1/3 de terre, 1/3 de sable.

 

Le compost non mature peut être disposé en paillage au pied des arbres ou des cultures. Il ne faut jamais mettre de compost non mature au niveau des racines !

 

Problèmes fréquents

 

Il y a de la moisissure : c’est que votre compost est trop sec ; il faut le remuer et ajouter de l’eau.

 

Il y a un écoulement de jus : c’est qu’il y a trop d’humidité ; il faut remuer et ajouter des matières sèches (feuilles…).

 

Il y a des insectes ou des animaux nuisibles : c’est qu’il y a sûrement des déchets non recommandés ou un mauvais recouvrement des déchets de cuisine. Il faut bien mélanger le tas de compost et recouvrir de terre. Si ce sont de petites mouches, c’est qu’il y a des restes de repas ou des fruits abîmés sur le haut de la pile. On va donc recouvrir de broyat, de tonte de gazon ou de feuilles, ou bien saupoudrer de poudre de roche ou de cendres. Si ce sont des mouches de couleur bleue métallique, c’est qu’il y a des résidus de viande ou de poisson, ou des excréments. Il ne faut plus mettre ces matières qui sont fortement déconseillées.

 

Il y a une odeur d’ammoniaque : le mélange est trop riche en matières azotées ou la température est excessive. Il faut donc ajouter des matières carbonées et mélanger.

 

Il y a une odeur « d’œuf pourri » : le mélange n’est pas assez aéré. Il faut brasser, laisser sécher et ajouter des matières sèches ou de la terre ou du compost mûr.

 

Le mélange ne chauffe pas : Il peut y avoir plusieurs causes : le manque d’oxygène, trop d’humidité ou au contraire trop sec, manque d’azote. On va donc brasser pour aérer, brasser, ajouter des matières sèches ou au contraire humides selon les constatations.

 

Il y a des mauvaises herbes qui poussent là où j’utilise mon compost : la température était insuffisante lors du compostage. Il convient de ne plus mettre de plantes en graines ou malades.

 

Il y a des moucherons dans mon compost: c’est plutôt bon signe, ils prouvent une bonne activité biologique. Cela est dû aux chaleurs. Pour les éviter, veillez à recouvrir vos déchets frais (épluchures…) de déchets secs (feuilles mortes…).

 

Ligne arbres 

Nota : Merci à Chantal pour l’idée de l’article.

 

La plupart des informations sont tirées des sites :  familleaunaturel.com  et  plantes-et-jardins.com

 

Si toutefois, vous n’étiez pas d’accord avec certaines affirmations, ou aviez-envie de nous faire part de vos remarques en fonction de votre expérience, n’hésitez pas. En vous remerciant.

 

mmmmmmmmmmmmmmmmmm 

 

NDA : j’ai un composteur en bac depuis de nombreuses années, mais qui n’a jamais produit de bonne terre, je n’avais jamais trop compris pourquoi. Après rédaction de cet article, j’ai enfin obtenu la réponse.

En fait, ce bac me sert essentiellement de poubelle, et représente surtout un geste purement « écologiqu e ». Je n’ai jamais respecté l’apport en « déchets azotés ou carbonés », je ne l’ai jamais arrosé non plus, et je me permets d’avouer aujourd’hui que je n’ai jamais voulu le remuer car il y a bon nombre de petits habitants de la nature à l’intérieur et que pour moi, il était hors de question de les déranger ! Je pense que je vais continuer à entretenir ce « petit nid douillet » et ne rien changer dans mon fonctionnement.

 

J’espère néanmoins que pour vous cet article aura été utile !

Nathalie.

Partager cet article
Repost0
19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 21:24

Reportage de Nicolas Joxe à Jouarre :

 

En France, le débat national sur la transition énergétique s'est achevé officiellement jeudi et c'est un fiasco. Le Medef et d'autres organisations patronales n'ont pas l'intention de signer le texte qui prévoit 15 recommandations. Le désaccord porte entre autres sur l'exploitation du gaz de schiste, à laquelle François Hollande est fermement opposée. Pourtant en région parisienne, des entreprises pétrolières poursuivent leur exploration du sous-sol.

 

Visionnez l'article en cliquant sur ce lien

Logo coll fertois

 

Merci à Arte pour ce reportage court mais de très bonne qualité, contrairement à ce que l'on peut visionner habituellement sur les médias institutionnels.

 

Ne manquez pas les autres articles proposés à la fin de ce reportage. Et pour ceux qui le souhaitent, voici un article très intéressant pour résumer ce qu'est la fracturation en quelques minites : LA FRACTURATION HYDRAULIQUE

 

En Pennsylvanie, au Canada, et maintenant à Jouarre...faites passer l'info. Merci.

 


Partager cet article
Repost0
16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 18:06

La foreuse a commencé à arriver en pièces détachées le 4 juillet. 11 jours après, le montage est quasiment terminé.

88359099_o.jpg  88359102_o.jpg

88359141_o.jpg

Il n'y aura peut-être pas d'exploitation du gaz de schiste [?], mais depuis le 14 juillet, on peut voir une foreuse sur la plateforme de Jouarre. Cette plateforme s'inscrit dans le périmètre du permis de Chateau-Thierry. Ce permis a été délivré en 2009 pour explorer la roche-mère, en vue d'évaluer la ressource en pétrole de schiste. Jusqu'en juillet 2011, jusqu'à la loi Jacob, il était prévu par le détenteur du permis d'utiliser la fracturation hydraulique. Le projet est certes provisoirement mis à mal, d'une part, par la loi interdisant la fracturation hydraulique, d'autre part, par l'arrêté préfectoral d'avril 2013 interdisant le forage horizontal.

Mais que va-t-il advenir si le Conseil Constitutionnel "casse" la loi Jacob ?

 

Prochaine réunion du collectif du pays fertois :
mercredi 17 juillet à 20 h

Maison des associations
Allée du Jumelage
à la Ferté sous Jouarre

Logo coll fertois

 

  

En 2010, lorsque les investisseurs américains cherchaient des terrains de jeu dans le Bassin Parisien...

 

Petite perle publiée en 2010, sur un site d'investisseurs américains où l'on apprend que le Bassin Parisien serait 10 fois (!) plus riche que le Bakken, que l'exploration est SANS risque (beaucoup de forages ont déjà permis d'accumuler des informations)... 

Et aussi, que les habitants du Bassin Parisien ne devraient rien dire, habitués qu'ils sont aux forages conventionnels, pas comme les habitants de l'état de New York, que le Bassin Parisien devraient permettre d'enrichir les investisseurs, grâce à une grosse réserve potentielle, une bonne connaissance du sous-sol et une population qui ne devrait pas protester…

Ces différents articles sont parus sur le blog du collectif du pays fertois - lire la suite : 946901

 

Partager cet article
Repost0
6 juillet 2013 6 06 /07 /juillet /2013 13:26

Chevêche 77 est une association née en 1987 dont le siège social se situe à la Mairie de Pringy.

Depuis plusieurs années, quelques membres de l’Association, tous bénévoles, ont investi une bonne partie de leur temps, afin de répondre à des personnes ayant recueilli un animal sauvage blessé.

Leurs principales actions portent sur :

  • La récupération et les soins aux animaux sauvages blessés.
  • La découverte de la nature (oiseaux, plantes, mammifères, batraciens,…)
  • La protection de la nature (fabrication de nichoirs à passereaux et à rapaces, création de sites favorables à la reproduction de chouettes effraies et chouettes chevêches).

Le centre "CHEVÊCHE77" en détail

 

 

Ce samedi, Michèle, Philippe et moi avons eu le plaisir de nous rendre à Pringy où se trouve le centre de soins pour les animaux sauvages "Chevêche 77". Une buse variable avait justement été déposée à Michèle dans le courant de la semaine. L'oiseau qui était recouvert d'une sorte d'huile ne pouvait plus voler et devenait la proie d'autres prédateurs.

Nous avons eu le privilège d'être reçus par Karine, bénévole au centre de sauvegarde de Pringy, qui a bien voulu nous expliquer comment fonctionne ce centre et faire une initiation aux premiers soins.

 

07 06 Chevêche77 (03)

 

1/ IDENTIFIER L'ESPECE

Pour le nourrir avec un aliment adapté et connaître son statut social [animal protégé, grand animal (gibier), nuisible]

2/ ÉVALUER LE DANGER A MAIPULER L'OISEAU

Passereaux : pas de danger. Pour les rapaces, il faut faire très attention avec leurs serres. Les échassiers représentent le plus de danger à cause de leur long bec pointu et de la force qu'ils ont dans le cou. Le morsures sont a craindre des petits mammifères.

3/ INSTALLER L'ANIMAL DANS UN LIEU SÉCURISÉ

Pour le transport (surtout les oiseaux), il est recommandé de placer l'animal dans un carton, dans le noir de préférence, avec un peu de paille ou de journal au fond, pas de tissu. L'animal étant blessé, il est essentiel de maintenir une température suffisante (bouteille ou bouillotte d'eau tiède).

Pour le transport d'un mammifère, préférez une caisse ou cage de transport recouverte d'un tissu.

 

4/ POSER UN DIAGNOSTIC

  Il est essentiel de connaître l'anatomie de l'animal. S'il y a une plaie, voir si elle est superficielle ou reconnaître s'il s'agit d'un traumatisme cranien (l'animal somnole, est en hypothermie, a la pupille dilatée)

 

Quelques conseils : Il existe un réseau important de bénévoles en Seine & Marne. Il faut savoir que lorsqu'un animal est trouvé, il est rapatrié grâce à ce réseau. Demain ce sera peut-être vous qui trouverez un oiseau blessé. N'hésitez pas à contacter le centre 01.60.65.97.38 qui vous guidera. Il est essentiel (et vital !)de ne pas créer d'échange avec un animal sauvage que vous trouvez, pas de caresse, pas de parole non plus. Pensez que si l'animal réchappe à sa blessure, il sera remis en liberté, il ne faut donc absolument pas le domestiqué, il n'aurait aucune chance de survie dans la nature.

 

Dans tous les cas, si vous trouvez un animal sauvage blessé, il faut savoir qu'avec un oiseau,  il n'y a pas ou peu de maladies transmissibles. En revanche, avec un mammifère, en plus des morsures, les risques sont importants : rage, leptospirose, maladies cutanées, échinococcose,... alors prudence !

Pour les oiseaux et petits mammifères, appelez CHEVECHE77 au  01.60.65.97.38 et laissez un message surtout.

ou : Centre de sauvegarde de Maisons-Alfort
06 08 68 37 58
(semaine) ou 06 32 31 71 97 (week-end)
Ecole Vétérinaire
7 avenue du Général de Gaulle
94704 Maisons-Alfort cedex

Pour les pigeons : Société protectrice des oiseaux des villes (S.P.O.V.)
(pour les pigeons des villes uniquement)
01 42 53 27 22
66 rue Gabriel Péri
92320 Châtillon

Pour le gros gibier, appelez un garde forestier - ONF JOUARRE et alentours : 01 60 22 08 68

ou la gendarmerie 01 60 22 01 19.

 

  07 06 Chevêche77 (31)  07 06 Chevêche77 (47)

Buse variable                                                                     Faucon hobereau

07 06 Chevêche77 (42)

Hibou MOYEN-DUC

07 06 Chevêche77 (57) 07 06 Chevêche77 (62)

Jeune hérisson                                                             Pie de 4 semaines environ

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 15:13
Recette Vin de Cerises avec Feuilles :

Temps de préparation : 15 min. + 60 jours de macération - Temps de cuisson : Aucun

Ingrédients pour réaliser un Vin de Cerises avec Feuilles :

# 50 feuilles de cerises,
# un litre de vin rosé,
# 200 g de sucre,
# un verre d'eau-de-vie,
# une gousse de vanille,
# un bâton de cannelle

Préparation du Vin de Cerises avec Feuilles :

1. Lavez et essuyez les feuilles de cerisier.

2. Mélangez tous les ingrédients dans un bocal.

3. Fermez le bocal et laissez macérer pendant 60 jours minimum en remuant de temps en temps.

4. Filtrez le mélange et mettez-le en bouteille.

 

NOTA : je prépare cet apéritif avec des feuilles de pêcher que je ramasse entre le 15 et le 31 août, et avec du vin rouge selon ma préférence...mais se fait aussi avec du vun blanc.
*******
Et aussi, vin de fleur de sureau en cliquant ci-dessous
Sureau.jpg
Partager cet article
Repost0